Quelle est la différence entre un bon et un mauvais chasseur (de têtes) ?

Temps de lecture : 4 minutes

“Le mauvais chasseur, c’est le gars qui a un fusil, y voit un truc qui bouge, ben y tire. Le bon chasseur, c’est le gars qui a un fusil, il voit un truc qui bouge, ben… il tire… mais c’est pas la même chose quoi, c’est un bon chasseur”. 

Vous aurez sans doute reconnu cette légendaire tirade du sketch des chasseurs, des Inconnus. Un grand classique.

Chez Tool4staffing, on adore. Mais au-delà du comique, on trouve que cette réplique soulève un constat plein de bon sens : la frontière entre un bon et un mauvais chasseur est mince. C’est vrai pour la chasse de galinettes cendrées, mais c’est vrai aussi pour la chasse de têtes en recrutement !

Alors quel est ce “je-ne-sais-quoi” qui différencie les bons des mauvais chasseurs ? Voici quelques pistes de réponse, inspirées par nos amis Dédé, Gérard, et Bébert.

Savoir attirer le gibier

À la manière de nos joyeux compères qui utilisent des appeaux pour imiter le bruit de leur proie, le recruteur doit savoir se mettre dans la peau de son candidat cible et lui parler dans un langage qui résonne avec ses besoins et attentes. Par exemple, via une séquence de messages LinkedIn optimale.

Mais ce n’est pas tout : il existe des techniques pointues pour faire venir les candidats à soi, plutôt que de courir après les talents comme un chasseur désespéré qui tire sur tout ce qui bouge. C’est tout l’intérêt de linbound recruiting, qui consiste à publier du contenu attractif pour faire de sa marque employeur un appât irrésistible.

Affiner son tir

“La chasse, c’est un art”, comme l’explique Bébert. Et il n’a pas tort. Le recrutement est une discipline complexe qui repose aussi sur des méthodes et des techniques précises.

Tout comme un bon chasseur connaît son terrain, le recruteur doit maîtriser à la perfection chaque étape de son processus de sourcing. De la définition du candidate persona à la construction d’une scorecard, en passant par la conduite d’entretiens et la négociation, chaque coup de fusil (ou de téléphone) doit être tiré avec rigueur.

Éviter les “accidents bêtes”

Pour éviter de rentrer bredouille, ou plutôt brocouille, il faut veiller à ne pas commettre ces erreurs classiques de mauvais chasseur :

 

Mal définir sa proie

On ne chasse pas un cerf comme on chasse un lièvre, et on ne chasse pas un développeur comme on chasse un commercial. Alors, prenez le temps de définir clairement votre besoin et votre profil cible avant même de lancer vos recherches, sinon vous vous retrouverez à courir après le mauvais animal… ou candidat.

Rester dans les sentiers battus

Un chasseur qui suit toujours les mêmes pistes finit par épuiser son terrain. De la même façon, si vous vous contentez des mêmes vieilles méthodes de recrutement, vous allez tourner en rond. Les meilleurs talents, tout comme le gibier le plus rare, se terrent là où on ne les attend pas. Alors explorez de nouveaux réseaux, testez de nouveaux outils et soyez créatif dans votre approche !

Effrayer le gibier

Un chasseur impatient qui fait trop de bruit fait fuir tout le gibier avant même de pouvoir tirer. En recrutement, négliger l’expérience candidat, c’est un peu la même chose. Si votre processus est trop long, impersonnel ou opaque, vous ferez détaler vos talents en un rien de temps. Alors personnalisez vos interactions, soyez transparent et donnez des feedbacks réguliers. Vos candidats se sentiront ainsi en confiance et resteront dans la ligne de mire.

Essayez-nous gratuitement

Choisir le bon fusil

Pour finir, un bon chasseur n’est rien sans son fusil (et sa bouteille de rouge, bien sûr). C’est la même chose pour un recruteur : sans des outils performants, il aura bien du mal à traquer efficacement les candidats.

Alors, faites comme Dédé, qui finit par troquer son fusil pour une mitraillette, et misez sur un outil qui va vraiment vous aider à faire la différence !

Chez Tool4staffing, nous avons conçu le fusil d’élite pour les chasseurs de talents modernes : le Talent Prospecting Software. Plus qu’un simple ATS (Applicant Tracking System), c’est un outil qui combine prospection intelligente, automatisation multi-canale, et IA pour débusquer tous les candidats qui se cachent dans les fourrés. Vous profitez d’une plateforme collaborative, optimisée pour que chaque tir soit précis et chaque cible atteinte.

Sur ces bons conseils, il ne nous reste plus qu’à vous souhaiter bonne chasse !

– Rédigé par Ingrid de Chevigny